Un visiteur du soir : le fourmilion à longues cornes

Ce fourmilion est venu se poser sur la table du dîner le 4 août. Les fourmilions ne ressemblent que très superficiellemnt aux libellules : leur vol est assez malhabile, ils ne volent que la nuit, leurs ailes se replient en toit au repos, et ils ont des antennes longues et bien visibles. En outre les… Lire la suite…

Des capricornes floricoles

Les capricornes – techniquement les Cérambycidés – sont des coléoptères dont les larves se développent dans le bois. De nombreuses espèces, particulièrement celles de la sous-famille des Leptures, se rencontrent sur les fleurs à l’état adulte. Voici Rutpela maculata sur une fleur d’Hydrangea, et Stenurella melanura sur une scabieuse. Sur la première photo on aperçoit… Lire la suite…

Le Ganoderme plat

Ce polypore en console pousse sur le bois mort ou dépérissant de divers feuillus, ici un tilleul (Tilia cordata). Il est bien toléré par son hôte si ce dernier est en bonne santé. La particularité de ce champignon est qu’il est toujours recouvert de ses spores brun chocolat. Le mécanisme par lequel ces spores, produites… Lire la suite…

La cigale grise

Cicada orni est la plus commune – et la plus bruyante ! – des cigales de France métropolitaine, qui comptent seize espèces sur les 4500 répertoriées sur la planète. Seuls les mâles chantent. Sur ce tronc d’arbre on voit trois mâles courtiser une femelle, et l’un d’entre eux est proche de conclure, ce qui m’a… Lire la suite…

Une de nos plus grosses araignées.

Hogna radiata est une Lycose, ou « araignée-loup ». A la différence de la Lycose de Narbonne Lycosa tarentula, qui lui ressemble beaucoup, elle ne fait pas de terrier. Elle est assez craintive et ne mord que si on la saisit. Sa morsure n’est d’ailleurs pas dangereuse, sauf allergie particulière. Le 6 février 2019, Vanessa Damay a… Lire la suite…

La grande sauterelle verte

La plus grande de nos sauterelles, Tettigonia viridissima, était autrefois commune dans toute la France; les pesticides l’ont fait fortement régresser, mais elle reste abondante chez nous et dès juillet on entend chanter les mâles le soir, à condition d’avoir l’ouïe sensible aux sons très aigus ! La grande sauterelle verte est un prédateur vorace… Lire la suite…

La campanule à feuilles d’ortie.

La campanule à feuilles d’ortie.

C’est ainsi, « nettle-leaved bellflower », que les anglo-saxons appellent Campanula trachelium, ce qui est plus évocateur que « campanule gantelée » ou « gant de Notre-Dame », d’autant que ce dernier nom est aussi donné aux Digitales. C’est la plus commune des campanules dans le Pays des Paillons, elle pousse un peu partout dans les endroits incultes ou au milieu… Lire la suite…

Le moustique tigre

Les espèces introduites font aussi partie de la biodiversité, même si on se passerait volontiers de certaines. Cette femelle d’ Aedes albopictus s’est fait assommer avant d’avoir pu piquer ! On reconnaît l’espèce aux bandes blanches des pattes, qui lui valent le surnom – peu approprié à dire vrai – de « tigre », et les femelles… Lire la suite…

Une composée à fleurs jaunes…

Une composée à fleurs jaunes…

Les composées – pardon les Astéracées – à fleurs jaunes sont souvent un casse-tête pour les botanistes même aguerris,  mais le commun des mortels les confond toutes sous le nom de « pissenlit ». Celle-ci est une méditerranéenne qui s’invite dans  les allées, elle fleurit tous les matins et ferme ses fleurs dès que le soleil est… Lire la suite…