Ainsi nommé en français car ses fruits ressemblent à des cônes de houblon, Ostrya carpinifolia atteint sa limite occidentale de répartition dans les Alpes-Maritimes, où il forme une association avec le chêne pubescent. En avril les chatons mâles apparaissent avec les premières feuilles. Pour voir sa répartition en Europe, cliquer ici.
Noctua comes est une « parpaiola » commune dans toute la France. Sa chenille est un « ver gris » qui peut dévorer à peu près tout, avec un faible pour les salades ! Les ailes inférieures, non visibles au repos, sont jaune orangé avec une bordure noire qui n’atteint pas la marge. La « fiancée », Noctua pronuba a une… Lire la suite…
..et aujourd’hui presque cosmopolite, de l’Amérique du Nord à l’Australie. Lepidium draba s’installe très vite dans les plates-bandes !
Les Pézizes sont des champignons en forme de coupe ou d’oreille, assez voisins des morilles, mais sans grand intérêt culinaire. Celle-ci, pousse au printemps au bord des chemins.
L’alliaire Alliaria petiolata pousse dans les endroits humides, au bords des ruisseaux. C’est une plante comestible à l’odeur d’ail, d’où son nom. Les anglais l’appellent garlic mustard, la moutarde-ail, car elle est de la famille de la moutarde et du chou, les Brassicacées, anciennement Crucifères.
Symphytum bulbosum se trouve au bord des ruisseaux, elle est assez commune dans les Alpes-Maritimes et la Corse, exceptionnelle ailleurs. Les Consoudes tiennent leur nom français de leurs propriétés cicatrisantes.
Une « mauvaise herbe », petite cousine sauvageonne du Réséda odorant qui ne croit pas au Ciel, si l’on en croit Aragon.
Sous une crotte de sanglier, des petits scarabées s’agitent : les femelles creusent des trous en dessous de la crotte, remplissent le fond du trou de crotte bien pétrie et y pondent un œuf : la larve, une sorte de ver blanc, se régalera de cette pâtée, et l’insecte aura ainsi recyclé l’excrément dans le… Lire la suite…
L’orvet n’est pas un serpent, mais ce n’est pas vraiment un lézard non plus (cliquer ici ici pour en savoir plus). En tous cas il est totalement inoffensif, et à protéger, car les faisans introduits par les chasseurs en font une grande consommation, sans parler des chats domestiques… Des analyses génétiues récentes ont monttré que… Lire la suite…
