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Archives de l’auteur : Jean Michel LEMAIRE
La mutille d’Europe
Le Coris de Montpellier
Carl von Linné, le fondateur suédois de la nomenclature scientifique des êtres vivants, a dédié en 1753 pas moins de 13 plantes à la ville de Montpellier. En effet, Linné avait reçu ces plantes d’un médecin botaniste montpelliérain, François Boissier de Sauvages de Lacroix (1706-1767). Coris monspeliensis Linné, 1753 est un petit arbrisseau méditerranéen, qui… Lire la suite…
Les cistes
Les cistes sont les arbrisseaux méditerranéens par excellence. À la fin du printemps et au début de l’été, ils illuminent garrigues et maquis de leurs grandes fleurs roses ou blanches. À Sclos de Contes, dans le quartier de Sainte-Hélène on peut voir trois espèces différentes, le Ciste cotonneux à fleurs roses, Cistus albidus, et deux… Lire la suite…
La badasse
C’est le nom occitan de ce petit arbrisseau très florifère et mellifère, qui fleurit en juin-juillet. Il s’appelait Dorycnium pentaphyllum, car les feuilles supérieures paraissent avoir cinq folioles – il y a en fait trois folioles et deux ligules. Les botanistes sont à présent revenus au nom linnéen de Lotus dorycnium.
La vipérine commune
Le Chardon Marie
Ce chardon spectaculaire peut atteindre 2 mètres de haut. Son nom, Silybum marianum pour les botanistes, Chardon Marie en français, évoque une légende suivant laquelle la Vierge Marie aurait laissé tomber des gouttes de son lait en dissimulant Jésus, recherché par les soldats d’Hérode. Ce lait aurait coulé sur un chardon dont il aurait marqué… Lire la suite…
La panorpe commune
Les Panorpes sont des insectes assez étranges, avec une sorte de bec allongé, et surtout dont les mâles possèdent un organe copulateur recourbé, qui leur vaut le nom vulgaire de « mouches-scorpions ». Bien entendu cet organe ne sert qu’à la copulation et ne peut absolument pas piquer, ces insectes sont parfaitement inoffensifs. Il s’agit ici d’une… Lire la suite…
La « petite biche »
Le « mousseron » de la Saint-Georges
Le tricholome de la Saint-Georges, connu naguère comme Tricholoma georgii, s’appelle aujourd’hui Calocybe gambosa. Ses lames un peu décurrentes sur le pied, son odeur forte mais agréable de farine fraîche, et sa poussée en mai-juin permettent de l’identifier sans confusion possible. C’est un excellent comestible, peu commun chez nous malheureusement, et donc méconnu.