Centranthus ruber n’est pas un lilas, mais une valériane. Il pullule sur les talus en mai-juin. Assez rarement, on peut observer des pieds aux fleurs toutes blanches. Il s’agit d’une variété, pas d’une espèce différente.
Une « mauvaise herbe » pourtant décorative, Anagallis arvensis a des fleurs rouges ou bleues, suivant les pieds, souvent à peu de distance les uns des autres.
Ce nom peut paraître un pléonasme, puisque les russules se distinguent des lactaires par l’absence de latex à la cassure, mais il exprime la grande ressemblance de Russula delica avec des lactaires blancs. C’est un champignon très commun et abondant, surtout sous les chênes. Il est comestible, mais d’un goût fort médiocre : il ne… Lire la suite…
et pour terminer ma tournée d’aujourd’hui je ne résiste pas à mettre la photos des coquelicots qui ont envahi ma planche d’oignons; je n’ai pas l’impression qu’ils leur soient nocifs et c’est si joli! dommage que mon appareil (ou peut être moi) n’est pas à la hauteur de leur beauté.
J’ai trouvé qu’il correspondait à la description du chèvrefeuille étrusque, Lonicera etrusca ; en tout cas il parfume bien!
Une que je rencontre un peu moins fréquemment et qui est parait il dangereuse pour les animaux mais très mellifère.
Voila une plante que je trouve chez moi aux Camps à l’Escarène dont j’aime beaucoup l’aspect satiné et velu de feuilles!
C’est ainsi, garlic weevil, que les anglophones appellent Brachycerus muricatus, ce qui est nettement plus joli que celui de »brachycère muriqué »dont l’a affublé le Muséum de Paris… Il mesure de 5 à 8 mm, et se développe dans les bulbes d’ail ou de plantes de la même famille, notamment les muscaris. Il peut exceptionnellement se montrer… Lire la suite…
Cet ail sauvage, Allium roseum, est très abondant en mai sur les talus et les restanques. Un nid d’amour pour un couple de petites cétoines, Oxythyrea funesta.
Voisin de la « belle d’onze heures« , l’ornithogale de Narbonne, Loncomelos narbonensis, est aussi moins précoce.
