Le scorpion à pattes jaunes, « de Trieste » peut-être, de Nice sûrement.

Le scorpion à pattes jaunes, « de Trieste » peut-être, de Nice sûrement.

Nos petits scorpions marron à pattes jaunes ne sont guère redoutables, à la différence du scorpion languedocien, plus gros, et dont la piqûre est douloureuse. On les a longtemps considérés comme une seule espèce, mais il en existe en fait trois, qui ne peuvent se distinguer à coup sûr qu’en comptant les soies sensorielles situées… Lire la suite…

Des « mille-pattes » roses

Propolydesmus testaceus n’a que 62 pattes en fait, mais pas d’yeux. On le trouve sous les morceaux de bois, dans les feuilles mortes, qu’il contribue à transformer en humus. Les anglophones distinguent les « centipedes » qui n’ont qu’une paire de pattes par segment, et sont carnassiers, et les  « millipedes » qui ont deux paires de pattes sur… Lire la suite…

Un cloporte en hiver

Que trouver en hiver sous un morceau de bois? Des cloportes, souvent. Celui-ci attendait le printemps à la face inférieure du morceau de bois. Il s’appelle Orthometopon planum, et on le trouve surtout dans le Sud-Est. Les cloportes sont des crustacés terrestres, à ne pas confondre avec les Glomeris qui ont plus de pattes, et… Lire la suite…

Un cloporte souterrain qu’on croyait disparu.

En 1907, Emile Racovitza, le père fondateur de la biospéléologie, la science des êtres qui vivent dans les grottes, a décrit un petit cloporte blanc et aveugle, Alloschizidium pruvoti,  d’une grotte de Roquefort-les-Pins. La grotte ayant été aménagée en chapelle, on a longtemps cru que l’espèce avait disparu. En fait elle est probablement assez répandue… Lire la suite…