Les espèces introduites font aussi partie de la biodiversité, même si on se passerait volontiers de certaines. Cette femelle d’ Aedes albopictus s’est fait assommer avant d’avoir pu piquer ! On reconnaît l’espèce aux bandes blanches des pattes, qui lui valent le surnom – peu approprié à dire vrai – de « tigre », et les femelles… Lire la suite…
Les composées – pardon les Astéracées – à fleurs jaunes sont souvent un casse-tête pour les botanistes même aguerris, mais le commun des mortels les confond toutes sous le nom de « pissenlit ». Celle-ci est une méditerranéenne qui s’invite dans les allées, elle fleurit tous les matins et ferme ses fleurs dès que le soleil est… Lire la suite…
Pomatias elegans est l’un des rares gastéropodes terrestres pourvu d’un opercule comme les bigorneaux. Cet opercule permet à cette espèce méridionale de résister à la chaleur et à la sécheresse.
Xylotrechus arvicola est plutôt méridional, mais on peut le trouver un peu partout en Europe, car les femelles confient leur ponte à du bois fraîchement coupé et les adultes éclosent là où l’on a transporté le bois.
La grande famille des Sphingidae est surtout représentée dans la zone tropicale, en France on ne compte qu’une vingtaine d’espèces, surtout méridionales et pour certaines migratrices depuis l’Afrique. Le sphinx du chêne Marumba quercus est indigène, il se développe sur tous les chênes européens. Il n’y a qu’une génération par an, les chenilles d’été hivernent… Lire la suite…
Les araignées-crabes (famille des Thomisidae) chassent à l’affût sur des fleurs où elles s’emparent des insectes imprudents venus butiner. Celle-ci s’appelle Heriaeus hirtus, elle attend sa proie sur une fleur de Pallenis spinosa.
Une autre « marguerite à fleurs jaunes », Inula salicina préfère les sous-bois ou les prés un peu humides.
Les Xylocopes sont des grosses abeilles solitaires bleu-noir qui recherchent des trous dans du bois – creusés par des insectes ou des humains – pour y déposer du pollen et du nectar et y pondre un œuf. Il en existe quatre espèces en France. Malgré leur taille et leur bourdonnement impressionnants, elle ne sont pas… Lire la suite…
Un nom bizarre à l’origine obscure, pour cette rosacée à fleurs jaunes, réputée depuis l’antiquité pour ses propriétés médicinales. Agrimonia eupatoria est commune dans toute l’Europe au bord des chemins et en lisière de bois.
