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Archives de la catégorie : B4-Le bassin versant du Paillon de Contes
Le réséda raiponce
Les cognassiers sont en fleurs
Les petits scarabées bousiers
Sous une crotte de sanglier, des petits scarabées s’agitent : les femelles creusent des trous en dessous de la crotte, remplissent le fond du trou de crotte bien pétrie et y pondent un œuf : la larve, une sorte de ver blanc, se régalera de cette pâtée, et l’insecte aura ainsi recyclé l’excrément dans le… Lire la suite…
L’orvet
L’orvet n’est pas un serpent, mais ce n’est pas vraiment un lézard non plus (cliquer ici ici pour en savoir plus). En tous cas il est totalement inoffensif, et à protéger, car les faisans introduits par les chasseurs en font une grande consommation, sans parler des chats domestiques… Des analyses génétiues récentes ont monttré que… Lire la suite…
La belle d’onze heures
Les Ornithogales s’ouvrent le matin et se ferment le soir, d’où leur nom commun. En déterrant le bulbe on trouve une multitude de petits caïeux ronds qui multiplient l’espèce, ce qui explique qu’on la trouve en abondance dans les zones cultivées. Cette particularité caractérise l’espèce Ornithogalum divergens.
Une congrégation de coprins
En tondant une pelouse j’ai découvert cette « congrégation » de coprins. Les Coprins se reconnaissent facilement au fait que les exemplaires âgés se liquéfient en un jus noirâtre. Celui m’a donné un peu de mal à déterminer, car cette liquéfaction est moins nette (mais quand même, cf ci-dessous) : pour cette raison on le range dans… Lire la suite…
La renoncule sarde
Tout le monde connaît les « boutons d’or », et a joué avec eux dans son enfance. Mais la détermination des Renoncules à l’espèce est une autre affaire, avec une soixantaine d’espèces en France, souvent fort variables. La clé de Flora Gallica (2014) m’a conduit à Ranunculus sardous Crantz, une espèce très répandue en Europe et pas… Lire la suite…
L’ophrys araignée de Nice.
Jean-Baptiste Barla l’avait appelée ainsi, en latin Ophrys aranifera nicaeensis, mais on doit l’appeler maintenant Ophrys exaltata Tenore, 1819, nom plus ancien – et donc prioritaire – qui fait référence à son port élancé. L’espèce est en fait répandue dans toute la moitié sud de la France. Elle a repoussé exactement un an plus tard… Lire la suite…