Un champignon qui pousse dans les pots de fleurs.

Au Musée de Contes, des champignons jaune d’or poussent depuis une semaine dans le pot d’un Dracaena. C’est un champignon tropical, acclimaté dans les serres et qui apparaît sporadiquement dans les pots de plantes d’intérieur. Il s’appelle Leucocoprinus birnbaumii. Sa toxicité est mal connue, il est donc déconseillé d’essayer de le cuisiner, d’autnt qu’il n’est… Lire la suite…

La lactaire très âcre

Il ressemble un peu au sanguin, mais son lait est blanc et pas orange, et surtout il est terriblement âcre, et donc immangeable. Lactarius acerrimus ne peut se séparer avec certitude d’autres espèces voisines que par des caractères seulement visibles au microscope, mais cela n’intéresse que le spécialiste : les autres espèces en question sont… Lire la suite…

L’amanite solitaire

Son nom actuel est Amanita strobiliformis, amanite pomme-de-pin. C’est la plus commune des amanites blanches méditerranénennes, elle affectionne les lisières de bois et les bords des chemins ombragés. C’est un bon comestible, à déconseiller formellement toutefois aux novices, en raison de la confusion possible avec l’Amanite printanière, Amanita verna, qui est mortelle !

Une bonne russule

La première étape pour connaître les champignons est de savoir reconnaître une russule. Une étape ultime est de lui donner un nom d’espèce, car il en existerait près de 500 espèces en France, les experts en débattent encore. Celle-ci, Russula insignis, est assez facile à reconnaître à sa coloration, son chapeau cannelé à la marge,… Lire la suite…

La russule sans lait

Ce nom peut paraître un pléonasme, puisque les russules se distinguent des lactaires par l’absence de latex à la cassure, mais il exprime la grande ressemblance de Russula delica avec des lactaires blancs. C’est un champignon très commun et abondant, surtout sous les chênes. Il est comestible, mais d’un goût fort médiocre : il ne… Lire la suite…

Une congrégation de coprins

En tondant une pelouse j’ai découvert cette « congrégation » de coprins. Les Coprins se reconnaissent facilement au fait que les exemplaires âgés se liquéfient en un jus noirâtre. Celui m’a donné un peu de mal à déterminer, car cette liquéfaction est moins nette (mais quand même, cf ci-dessous) : pour cette raison on le range dans… Lire la suite…

Le polypore du pin et ses coléoptères.

Le Polypore du pin, Fomitopsis pinicola, est commun dans les Alpes-Maritimes à toutes les altitudes où poussent des pins. L’exemplaire photographié, qui pousse sur un pin d’Alep moribond, est dévoré de l’intérieur par les larves d’un coléoptère de la famille des Ténébrions, Diaperis boleti. On voit une femelle adulte en train de grignoter les pores… Lire la suite…