L’abeille charpentière

Les Xylocopes sont des grosses abeilles solitaires bleu-noir qui recherchent des trous dans du bois – creusés par des insectes ou des humains – pour y déposer du pollen et du nectar et y pondre un œuf. Il en existe quatre espèces en France. Malgré leur taille et leur bourdonnement impressionnants, elle ne sont pas… Lire la suite…

Le moyen nacré et l’astérolide épineux

L’astérolide épineux, Pallenis spinosa, est une « marguerite à fleurs jaunes » commune sur les talus ensoleillés en juin. C’est une fleur appréciée des insectes et notamment du Moyen Nacré, Fabriciana adippe. Cette femelle a de nombreuses heures de vol, vu l’état de ses ailes, et sans doute plus beaucoup à vivre car elle a probablement déjà… Lire la suite…

La campanule carillon

Campanula medium épanouit ses grandes cloches bleues en juin-juillet, jusqu’à 1500 m d’altitude. Au fond des corolles on trouve souvent un petit charançon qui ne vit que sur les campanules, Cleopomiarus longirostris.

L’herbe à mille trous

On l’appelle aussi millepertuis, ou herbe de la Saint-Jean car elle fleurit fin juin. Pour les botanistes, c’est Hypericum perforatum. Les « trous « ou les « pertuis » sont des petite glandes situées dans le limbe des feuilles, qui apparaissent comme des petits trous lorsqu’on regarde les feuilles par transparence. C’est une plante médicinale plus réputée – notamment… Lire la suite…

L’arum dragon ou serpentaire

Cette plante étonnante, Dracunculus vulgaris est originaire de Méditerranée orientale, notamment de Crète où elle est très commune, mais elle est introduite depuis longtemps en Italie et dans le sud de la France. En Provence on dit qu’on la plantait près des mas pour éloigner le diable : ses immenses fleurs pourpre foncé sentent la… Lire la suite…

La Céphalanthère rouge

Une orchidée des sous-bois comme ses deux cousines blanches, Cephalanthera rubra est aussi la plus tardive. Fin mai, elle commence à se montrer. À part la taille, ses fleurs peuvent rivaliser avec celles des orchidées tropicales  :