Une bonne russule

La première étape pour connaître les champignons est de savoir reconnaître une russule. Une étape ultime est de lui donner un nom d’espèce, car il en existerait près de 500 espèces en France, les experts en débattent encore. Celle-ci, Russula insignis, est assez facile à reconnaître à sa coloration, son chapeau cannelé à la marge,… Lire la suite…

L’arum dragon ou serpentaire

Cette plante étonnante, Dracunculus vulgaris est originaire de Méditerranée orientale, notamment de Crète où elle est très commune, mais elle est introduite depuis longtemps en Italie et dans le sud de la France. En Provence on dit qu’on la plantait près des mas pour éloigner le diable : ses immenses fleurs pourpre foncé sentent la… Lire la suite…

Une araignée sauteuse sans complexes

Ce jeune mâle de Menemerus semilimbatus n’a pas hésité à capturer une mouche deux fois plus grosse que lui ! Les araignées sauteuses ou saltiques (famille des Salticidae) ne font pas de toile, elles chassent à l’affût en sautant sur leurs proies. Cette saltique est commune sur les  rochers et les murs des maisons dans… Lire la suite…

La cicindèle des champs

Les cicindèles sont des coléoptères prédateurs redoutablement équipés : ils courent et volent très rapidement au soleil sur les chemins sablonneux, et leurs mandibules longues et acérées ne laissent aucune chance de survie à leurs proies. Cicindela campestris est l’espèce la plus répandue en France. Les femelles se reconnaissent à leurs tarses antérieurs étroits et… Lire la suite…

Un moustique noir et jaune, mais ce n’est pas un tigre !

Cet gros moustique spectaculaire, photographié par Henri Giaume dans son jardin, est parfaitement inoffensif, comme toutes les Tipules. Rien à voir avec le « moustique tigre » donc, comme le croyait la personne qui en apporta un jour un exemplaire au Musée Barla ! Il s’appelle Ctenophora ornata. Sa larve se développe dans le bois décomposé. Quant… Lire la suite…

La Céphalanthère rouge

Une orchidée des sous-bois comme ses deux cousines blanches, Cephalanthera rubra est aussi la plus tardive. Fin mai, elle commence à se montrer. À part la taille, ses fleurs peuvent rivaliser avec celles des orchidées tropicales  :