Un charançon du muflier

Les mufliers à fleurs jaunes Antirrhinum majus latifolium fleurissent murs et talus ce début mai. En observant les fleurs de près, on peut y voir assez souvent des petits charançons. Il en existe plusieurs espèces, celle-ci est Rhinusa vestita, une espèce méditerranéenne qui ne vit que sur cette plante. La femelle est plus corpulente et… Lire la suite…

Le « bombardier »

Les Brachinus sont des coléoptères carabiques qui ont la particularité de pouvoir projeter par l’anus un liquide qui explose au contact de l’air. Cette femelle de Brachinus sclopeta (6 mm), sauvée de la noyade, a bien voulu prendre la pose sans faire usage de son arme !

Le cryptocéphale à corselet rugueux

Les Cryptocéphales sont des petits coléoptères de la famille des Chrysomélidés que l’on voit surtout sur les Composées à fleurs jaunes. Le nom du genre signifie « tête cachée » car le corselet bossu cache la tête en vue de dessus. Il en existe cent espèces en France. Celle-ci, Cryptocephalus rugicollis, se reconnaît immédiatement à son corps… Lire la suite…

Le lotier « pied de poule »

Lotus corniculatus est une plante commune très variable, à deux mètres de distance on peut trouver des pieds à tiges rougeâtres et feuilles très velues, et d’autres à tiges vertes et feuilles moins velues. L’origine des noms vernaculaires et scientifique est expliquée ici (sous toutes réserves !).

Le grémil pourpre et bleu

Son nom scientifique Lithospermun purpurocaeruleum, qui lui a été donné par Linné en 1753, signifie « graines de pierre, [fleur] pourpre et bleue ». Il est possible que le nom français  « grémil », attesté au Moyen-Âge, fasse aussi allusion à la dureté des graines, mais ce n’est qu’une hypothèse.