Le « drap mortuaire ».

Ah, le mauvais goût des « noms vernaculaires : cette petite cétoine, Oxythyrea funesta, est certes noire à taches blanches, et son premier descripteur, Nikolaus Poda von Neuhaus (1723-1798) l’a pour cela nommée « funeste ». Mais comme toutes les cétoines, elle n’a rien de mortuaire, et elle n’est n’est funeste que pour les fleurs, qu’elle dévore plus… Lire la suite…

la pâquerette

Bellis perennis, très commune sur les restanques. 550m, 31 mars 2018, midi, orientation sud Elle peut fleurir presque toute l’année, mais chez nous surtout au printemps et à l’automne. En automne, les tiges des fleurs sont généralement plus longues qu’au printemps.

La bourrache

  Voila des photos d’un pied de bourrache (Borago officinalis L.) qui est en pleine floraison chez moi  (les Camps à L’Escarène, prises de vue le 20 mars 2018). Elle attire plein de bourdons; il y en a de partout et c’est plein de vie; j’ai déjà goûté ses fleurs et effectivement elles ont un… Lire la suite…

La prêle des champs

Le genre Equisetum – les Prêles – est le seul survivant actuel d’une classe de végétaux qui couvraient la Terre à l’ère primaire. En mars on ne voit que les tiges fertiles, terminées par une sorte d’épi qui produit les spores, le  sporangiophore. Equisetum arvense, bords du Destey, 28/03/2018 Quinze jours plus tard, les tiges… Lire la suite…

L’anémone rouge.

Cette anémone spectaculaire fleurit au premier printemps sur les pelouses calcaires, en particulier sous les oliviers. Les botanistes la considèrent comme une variété (« sous-espèce ») de l’anémone des jardins, à fleurs plus petites et violettes. Son nom scientifique actuel est Anemone hortensis ssp. pavonina. Pour en savoir plus cliquer ici.